Nicole LE PEIH

« Bien manger, mal manger », la France sur le podium mondial du bien manger


Une étude mondiale réalisée dans 195 pays, publiée par l’hebdomadaire médical « Le Lancet » et appuyée par l’INSERM en France, vient de montrer que la France est au deuxième rang mondial du « bien manger » au sens médical. Les quatre pays où l’alimentation présente le moins de risque pour la santé sont la France, l'Israël, l'Espagne et le Japon. Cela veut dire que le régime alimentaire de ces pays est dans « le bien manger », car leur alimentation évite les risques de décès causés par une nourriture fortement déséquilibrée, cause de maladies cardiovasculaires irrémédiables. Le « mal manger » au sens médical est défini par un composant alimentaire en excès, le sel, et quatre composants alimentaires en fort déficit, c’est-à-dire des régimes avec un apport faible en céréales complètes, une ration quotidienne trop basse en fruits, en noix et graines, et en légumes.

Ces cinq types d’alimentation, présentant des risques élevés pour la santé, sont responsables, d’après l’étude sur les 195 pays étudiés, de 10,6 millions de décès par an sur les 16,2 millions attribuables à un mauvais régime alimentaire. Cette étude va se prolonger en collaboration avec l’OMS en évaluant l’ensemble des problèmes de nutrition (malnutrition, surpoids, obésité et sous-nutrition).


Articles similaires

Nous n'avons pas pu confirmer votre inscription.
Votre inscription est confirmée !

Suivez mon actualité !

Inscrivez-vous à la newsletter pour suivre mes actualités.

Nous utilisons Brevo en tant que plateforme marketing. En soumettant ce formulaire, vous acceptez que les données personnelles que vous avez fournies soient transférées à Brevo pour être traitées conformément à la politique de confidentialité de Brevo.

Catégories

Derniers articles

Visite de l'entreprise AUTOPRÉPAR à Plumelin

Rencontre avec la direction régionale de FRANCE TRAVAIL

Lettre d'information Octobre 2024

Création et référencement du site par Créer un site internet d'homme politique

Connexion